Amouret humour. J’ai le sentiment que tu as volĂ© le code secret de mon cƓur et que tu l’as changĂ© par ton prĂ©nom parce que mon cƓur aujourd’hui ne s’ouvre qu’à toi. SMS d’amour drole. Tu es mon far qui m’aide Ă  avancer dans le noir, sans toi je suis tel un vĂ©hicule en rade sur le bord du chemin qui attend de l Jefais l'amour ta salope de la simple OMG, j’ai attrape lui putain ma mĂšre!! Je voudrais baiser la mĂšre est accro Ă  wang, milfmy brun foncĂ© avec les trous fantastiques et des mambos naturels agrĂ©ables est amoureuse de dongs durs, donc mon alliĂ© et m’utiliser que la dĂ©pendance au groupe sexe son arracher et la gorge. 1er j’ai dĂ©tru Jefais l’amour deux fois par semaine maintenant. Pour un couple mariĂ© depuis huit ans, on s’en sort pas trop mal. J’ai des enfants, je travaille, je ne fais pas d’efforts non plus. C’est le couple quoi. Quand je m’éloigne, j’envoie Ă  mon mari des vidĂ©os de moi, sous la douche ou en train de jouir. Je retrouve du potentiel Vay Tiền Nhanh. Histoire Ă©rotique de anonyme ★★★★★ 35+ Enfoncer ma mĂšre
 🕑 17 minutes Inceste Histoires 25 J'avais 14 ans la premiĂšre fois que j'ai baisĂ© ma mĂšre. Elle avait 32 ans et il ne fait aucun doute qu'elle Ă©tait belle. Elle avait l'air d'avoir au moins 5 ans plus jeune, elle avait Ă©tĂ© un chef de file au lycĂ©e et dans la communautĂ© et avait remportĂ© plusieurs concours de beautĂ© rĂ©gionaux. Mon pĂšre Ă©tait dĂ©cĂ©dĂ© dans un accident de voiture Ă  l'Ăąge de 6 ans et elle ne s'Ă©tait pas remariĂ©e. Elle occupait un poste bien rĂ©munĂ©rĂ© au sein du service financier d’une sociĂ©tĂ© internationale d’électronique et, avec un hĂ©ritage important de son pĂšre, nous vivions confortablement. Je suis nĂ©e avec une puissante libido et, Ă  l'Ăąge de 8 ans, j'ai commencĂ© le jeu sexuel avec la fille de 6 ans d'Ă  cĂŽtĂ©. Au moment oĂč elle est partie 4 ans plus tard, nous Ă©tions dĂ©jĂ  passĂ©s Ă  la baise et Ă  la baise. succion. C'est Ă  ce moment-lĂ  que j'ai compris que j'avais commencĂ© Ă  convoiter ma mĂšre. Le fait que ce fĂ»t impossible ne diminuait en rien mon dĂ©sir et, Ă  14 ans, j'Ă©tais presque consumĂ© par elle. Elle Ă©tait la vedette de tous les fantasmes sexuels que je commençais Ă  me branler. Avec sa jeunesse et sa beautĂ©, c'Ă©tait impossible pour ma mĂšre chaste, mais pour protĂ©ger sa rĂ©putation et ne pas m'embarrasser, elle Ă©tait discrĂšte et se rendait Ă  Boston pour y recevoir des ordres. La nuit oĂč nos deux mondes se sont retournĂ©s quand elle est rentrĂ©e Ă  la maison, j'Ă©tais encore Ă©veillĂ©e Ă  lire et elle a regardĂ© dans ma chambre pour me souhaiter le bonsoir et je pouvais dire qu'elle Ă©tait lĂ©gĂšrement en Ă©tat d'Ă©briĂ©tĂ©. Quelques minutes plus tard, je me suis levĂ© pour aller aux toilettes. elle n'avait pas complĂštement fermĂ© la porte de sa chambre et je l'entendais chanter pour elle-mĂȘme. Quand j'ai regardĂ© dedans, j'ai eu le frisson de ma vie, elle Ă©tait complĂštement nue, complĂštement inconsciente de mes yeux affamĂ©s, elle se dirigea vers son lit et se laissa tomber dessus, sans mĂȘme Ă©teindre la lampe Ă  cĂŽtĂ© du lit. J'ai eu un orgasme spontanĂ© et depuis que j'ai dormi dans un tee-shirt trop grand, il est tombĂ© sur le sol. Je suis allĂ© dans la salle de bain, sursautĂ©, puis j'ai pris des serviettes en papier pour effacer les preuves de ma rĂ©action Ă  voir les seins et la chatte de maman. De retour dans ma chambre, j'ai enlevĂ© mon tee-shirt et je me suis couchĂ© avec un coq encore droit, maintenant avec un dĂ©sir dĂ©vorant. Il Ă©tait impossible pour moi de dormir. Je me suis retournĂ© pendant une heure, puis je me suis levĂ© et j'ai regardĂ© ma mĂšre qui dormait avec son dos, tous ses charmes exposĂ©s. Je savais que c'Ă©tait de la folie, mais je suis entrĂ© et je me suis tenu Ă  cĂŽtĂ© de son lit. Elle Ă©tait mince, avait de petits nichons, mais elle avait assez de caresses, une taille Ă©troite et des jambes longues et parfaitement dessinĂ©es. À son entrejambe se trouvait une tache de poils pubiens blonds, assez rares pour rĂ©vĂ©ler les lĂšvres de sa chatte. J'ai eu une autre Ă©jaculation spontanĂ©e, mais peu de temps aprĂšs j'ai Ă©tĂ© capable de limiter les jaillissements Ă  mes mains en coupe. Je les lĂ©chais cean et montais sur le lit, mes genoux Ă  cĂŽtĂ© d'elle et lĂ©chais lĂ©gĂšrement les mamelons de ses pointes. Quand elle ne bougea pas, je baissai la main et passai ma main sur ses cheveux pubiens. Quand elle ne montra aucun signe de rĂ©veil, je dĂ©cidai que l'alcool dans son systĂšme la laissait dans un Ă©tat de drogue. Ma queue, douloureuse et douloureuse, je posai doucement un doigt sur la lĂšvre de sa chatte et, quand elle ne manifesta aucune rĂ©action, je touchai les lĂšvres de sa chatte humide, puis enfonçai mon doigt dans la chatte de ma mĂšre. Elle est restĂ©e immobile et maintenant, il me manquait toutes les raisons pour lesquelles j'ai commencĂ© Ă  la baiser au doigt. Soudain, une cascade de ce que je ne savais pas encore Ă©tait du jus de chatte, a couru sur ma plus belle et a coulĂ© dans la fente de son cul. Je savais que j'Ă©tais sur le point d'exploser et j'ai appuyĂ© ma bite dure contre mon ventre pour Ă©viter de jouir sur ma mĂšre. J'ai enlevĂ© mon doigt et j'ai grimpĂ© du lit et j'ai commencĂ© Ă  marcher vers la porte quand j'ai entendu. "Oh mon Dieu, Billy, tu ne peux pas me laisser comme ça. Baise-moi! "Je me tournai," Putain de merde! Je ne savais pas que tu Ă©tais rĂ©veillĂ©. Je suis dĂ©solĂ©e! "Maman m'a regardĂ©, nous le sommes tous les deux, mais tu ne peux pas me laisser sur un plan sexuel. Mets ta jeune queue en moi. Donne Ă  ta mĂšre ce dont elle a besoin." Inutile de dire que j'ai sautĂ© sur le lit, que je me suis agenouillĂ© entre son vaste terrain a commencĂ© Ă  me pousser la bite Ă  l'intĂ©rieur et Ă  baiser ma mĂšre. "Lentement, Billy, tu vas jouir trop tĂŽt, gentil et lent." Je me souvenais que quand j'ai baisĂ© la fille d'Ă  cĂŽtĂ©, je ne pouvais pas Ă©jaculer, mais les filles peuvent avoir des orgasmes pratiquement dĂšs leur naissance et il a toujours fallu un certain temps pour qu'elle en ait un. Je commençai Ă  un rythme lent et rĂ©gulier, tirant mon sexe presque tout le temps, puis le ramenant aussi profond que possible. En quelques secondes, ma mĂšre a commencĂ© Ă  se plaindre. "Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, mon fils de 14 ans me donne des orgasmes non-stop" OUI

 mon propre fils est juste tombĂ© en moi

 oh, mon Dieu, j'ai l'orgasme le plus puissant de ma vie! "C'Ă©tait longtemps avant que son corps ne se dĂ©tende. Je roulai Loin d'elle et couchĂ©e sur mon cĂŽtĂ© cĂąlins contre elle, "Maman, je t'aime! J'en rĂȘvais depuis aussi longtemps que je me souvienne. "Ma mĂšre s'est tournĂ©e vers elle et m'a fait face." Billy, tu es mon fils et je t'aime, mais c'Ă©tait fou. Cela ne peut plus jamais arriver! "Je la regardai," Pourquoi, tu as apprĂ©ciĂ©. Vous avez dit que vous aviez le meilleur orgasme de votre vie. Pourquoi je ne peux plus te baiser? "" Parce que c'est de l'inceste! Tu es malin, Billy, tu as un QI de 130. Vous savez que les relations sexuelles entre une mĂšre et son fils sont interdites, c'est illĂ©gal! "Dis-je doucement." Je t'aime tellement, maman, ça fait presque mal. Nous venons d'avoir un sexe merveilleux et dans ton cƓur tu veux qu'on le rĂ©pĂšte encore et encore parce que ça nous rend toutes les deux heureuses. Il y a quelque chose en nous qui fait que vous et moi en avons besoin. Oubliez toutes les raisons pour que nous ne baisions pas, ne vous battez pas, faisons ce qui pour nous vient naturellement. Écartez vos longues jambes pour votre fils. "Ma mĂšre m'a regardĂ© avec force, puis a ri et a dit" On va encore foutre! "Quelle lascive ma mĂšre a faite, les tĂ©tons sur ses seins et sa chatte qui foutait le jus de sa chatte. sur mes mains et mes genoux entre ses jambes, baissant mon corps jusqu’à ce que ma bite glisse en elle. Maman a dit "Oh, Billy, c’est tellement bon! Je vais t'apprendre Ă  faire toutes les choses qui feront que les filles que vous baisez n'auront jamais assez de votre bite
. oooooh
 maintenant, sortez votre bite, saisissez-la et massez vigoureusement ma chatte de haut en bas en bas, cĂŽte Ă  cĂŽte
. descendez et frottez mon trou du cul avec elle

 ooohhh
. je viens de venir
 oooohhhhh
 maintenant baise et mordille lĂ©gĂšrement mes mamelons.. 
. oui
. oui

. maintenant doigt baise mon cul et commence Ă  claquer votre bite et sortir aussi fort que vous pouvez et

 "Avant qu'elle puisse dire un autre mot ma bite a explosĂ© dans sa chatte. Maman a criĂ©, attrapĂ© mon cul et m'a attirĂ© dans elle gĂ©missant pour ce qui semblait ĂȘtre pour toujours. L'excitation de cela m'a gardĂ© dur comme un roc et a continuĂ© Ă  la baiser. "OUI, oui
. faites-le encore
 mettez une autre charge du sperme de mon bĂ©bĂ© en moi
.. cum dans maman, cum en moi! "Quand c'Ă©tait fini tous les deux, nous haletions et je me suis dĂ©tendu en mettant tout le poids de mon corps dessus Maman, quand nous avons finalement repris notre souffle, ma mĂšre a commis un acte odieux, elle a baissĂ© la tĂȘte et a commencĂ© Ă  l'embrasser pendant quatorze ans. Son fils sur les lĂšvres. J'ai senti sa langue repousser ma mine et j'ai rĂ©pondu. Nos langues ont commencĂ© Ă  sonder nos bouches, Ă  entrer et Ă  sortir, Ă  courir les dents, nous Ă©tions une putain de langue! C’était un baiser qu’aucune mĂšre et son fils ne devraient jamais s’engager, une passion interdite de la passion et de la luxure. Ma queue Ă©tait serrĂ©e entre nous. J'ai envoyĂ© un flot de sperme tiĂšde tirant sur nos corps et je pouvais dire qu'elle avait un gros orgasme. Lorsque nous avons rompu le baiser, nous nous sommes enlacĂ©s dans les bras l'un de l'autre. J'ai dit "Que ferons-nous ensuite? Je veux avoir toutes sortes de relations sexuelles avec ma mĂšre." et elle rĂ©pondit "Oh mon Dieu, je veux te consommer, mais regarde l'heure. Tu as l'Ă©cole le matin et je dois aller au travail." 'J'ai protestĂ©, "Je ne suis pas fatiguĂ©!" Maman a rĂ©pondu "Bien sĂ»r que tu l'es et clarifions une chose si l'une de nous deux a eu tout le sexe qu'elle veut ou si elle n'est pas d'humeur, ne mĂ©rite ni protestations ni protestations ou si nous annulons notre inceste maintenant. rentrez du travail, nous Ă©tablirons des rĂšgles, mais pour le moment, retournez vous et allez vous coucher. " "Je t'aime, maman!", S'Ă©loigna d'elle et m'Ă©tonnai presque instantanĂ©ment de dormir. Au matin, ma mĂšre me secoua pour me rĂ©veiller. "Allez, Billy, lĂšve-toi, tu as besoin de temps pour prendre une douche avant de partir pour l'Ă©cole, tu sens une maison de pute." Quand j'ai regardĂ© le corps nu et la chatte pulpeuse de ma mĂšre, j'ai dit "D'accord, mais nous avons le temps pour une baise rapide!" et avec un mot, elle Ă©tait sur le dos, prĂȘte pour ma bite! Plus tard, alors que nous prenions notre petit-dĂ©jeuner, maman rit "Tu sais Billy, commencer la journĂ©e Ă  ĂȘtre baisĂ©e par mon fils pourrait prendre l'habitude de devenir une habitude. Oh lĂ  lĂ , c'Ă©tait un mĂ©chant couple!" Quelques minutes plus tard, j'ai attrapĂ© mon sac d'Ă©cole et j'Ă©tais dehors. Vous pouvez imaginer les pensĂ©es incestuelles qui me traversaient la tĂȘte alors que je marchais. Je pensais "Je serai le seul gars de ma classe Ă  ne pas ĂȘtre vierge. J'aimerais pouvoir m'en vanter, mais bien sĂ»r, cela doit rester un secret profond." Je suis allĂ© Ă  une Ă©cole paroissiale qui Ă©tait Ă©tudiante et dans notre salle de classe, nous Ă©tions tous assis ensemble, mais nos classes Ă©taient sĂ©parĂ©es en garçons et en filles. Quand je suis restĂ© assis lĂ  Ă  regarder mes camarades de classe, je les ai vus me regarder baiser ma mĂšre et je me suis dĂ©tachĂ©e en sous-vĂȘtements. Il a fallu un certain temps avant que je puisse passer la journĂ©e sans pensĂ©es pornographiques et m'envoyer dans la salle des hommes pour me branler. AprĂšs l’école, j’ai dit Ă  ma gardienne que j’allais faire du vĂ©lo chez un ami, mais je serais de retour au souper. Pendant que nous mangions, comme d'habitude, nous avons discutĂ© de notre journĂ©e et de certains sujets d'actualitĂ©. Puis maman a dit "TrĂšs bien, parlons de ce qui nous prĂ©occupe vraiment, de ce qui s'est passĂ© la nuit derniĂšre, c'Ă©tait pervers, c'Ă©tait un inceste entre la mĂšre et le jeune fils, mais nous avons tous les deux trouvĂ© que c'Ă©tait ce qui Ă©tait censĂ© ĂȘtre, il nous fallait du sexe incestuel ĂȘtre vraiment heureux. Je ne sais pas pour vous, mais je suis impatient d'avoir votre sexe dans la chatte. "Entendre ces mots m'a donnĂ© un instant de force. Elle a poursuivi" Cela veut dire que notre vie est plus compliquĂ©e. BĂ©bĂ©, nous aimons toujours autant que n'importe quelle mĂšre et son fils, mais maintenant nous sommes aussi des amoureux sexuels. Le fait que maintenant nous dormions et baisions ensemble devait toujours ĂȘtre secret. Donc, la plupart du temps, nous devons voir ce que nous avons toujours Ă©tĂ©. Nous
 "J'ai interrompu," Je sais, c'est ce que je veux, je veux toujours inviter des amis chez moi, tout le monde a toujours pensĂ© que tu Ă©tais une mĂšre cool, que tu pouvais ĂȘtre drĂŽle et liĂ©e Ă  eux. Nous voulons que les gens dĂźnent, dĂźnions, cocktails, fassions tout ce que nous faisions toujours. "" Exactement, et quand nous sommes seuls, notre inceste merveilleusement pervers n'est que lorsque nous sommes au lit. " et Ă  partir de ce moment-lĂ , on Ă©tait comme ça. Plus tard, comme toujours, on Ă©tait assis dans le salon, moi faisais mes devoirs et ma mĂšre lisait un livre ou un magazine. C'Ă©tait samedi soir et sans Ă©cole le lendemain, on m'a autorisĂ© rester debout jusqu'Ă  23 heures, mais cette nuit-lĂ , peu aprĂšs 10 heures, mon esprit absorbĂ© par les pensĂ©es de ce qui allait arriver, je devais monter dans ma chambre et me branler avant de le faire en sous-vĂȘtement. aller au lit de bonne heure Maman a dit "Je pense que je le ferai aussi." Elle devait ĂȘtre enthousiaste Ă  l'idĂ©e de baiser. Nous Ă©tions rapidement dans sa chambre Ă  lui enlever nos vĂȘtements. Alors que maman montait sur le lit et Ă©cartait les jambes, Je me suis placĂ©e entre eux. Avec mon pouce Ă  quelques centimĂštres de la chatte de maman, elle a dit "Quick Baby, mets ta jeune bite en moi et baise-moi dans le cul!" ous imaginez Ă  quel point c'Ă©tait excitant d'entendre votre belle mĂšre dire ces mots? Ils m'ont fait une Ă©jaculation, peignant ses cheveux pubiens en blanc. "Mon Dieu, quel tour!", S'est exclamĂ©e Maman, et j'ai poussĂ© les 7 pouces en son sein. "Quand j'ai commencĂ© Ă  caresser doucement et rĂ©guliĂšrement Maman, elle a soulevĂ© son cul et m'a baisĂ©e dans le dos. Nous Ă©tions tous les deux tellement excitĂ©s que ma mĂšre a immĂ©diatement commencĂ© Ă  jouir et plus vite que je ne le souhaitais, j'ai vidĂ© une charge de sperme dans la chatte de ma mĂšre. La faisant pleurer, "Oh si bon
 ooohhh

 ohhh

. mon fils est tombĂ© en moi

. oooooohhhh
. putain.. ..Merde!" Quand tout a Ă©tĂ© fini, je me suis calĂ© contre le panneau arriĂšre et maman a fait de mĂȘme. J'ai dit "Je savais que putain serait excitant mais
 je veux dire
 mec, c'est fantastique!" "Tu ne sais pas Ă  quel point c'est bon. J'ai dĂ©jĂ  eu des bites en moi quand j'avais 16 ans et je me suis fait baiser des milliers de fois depuis et j'adorais ça. Mais, Billy, crois-moi, personne qui ne l'ait jamais Ă©tĂ©." t baisĂ©e avec leur propre fils, notre fille peut mĂȘme imaginer le plaisir presque incroyable, la pure extase que vous ressentez lorsque vous le faites. Dans un an ou deux, lorsque les filles commenceront Ă  vous laisser mettre leurs pantalons, vous ne pourrez plus en avoir assez mais vous constaterez que cela ne se compare pas Ă  baiser votre propre mĂšre. " Elle jeta un coup d'Ɠil Ă  ma bite semi-dure "Regarde cette belle chose, elle est couverte de jus de chatte et de jus. Elle baissa la tĂȘte et l'enfonça dans sa bouche." Putain de merde! ", J'ai haletĂ©," Ma mĂšre va donne-moi une pipe! Ma bite Ă©tait dure comme un roc quand elle a commencĂ© Ă  courir ses lĂšvres de haut en bas. Parfois, elle s'arrĂȘtait et concentrait sa langue sur la tĂȘte en lĂ©chant vigoureusement. Je gĂ©missais de joie, "Oh mon Dieu, ma mĂšre est en train de me sucer la bite. Sucer ça
 sucer!" ! "Le tressaillement fut tel que je me dĂ©gageai rapidement et lorsque mon sperme jaillit dans la bouche de ma mĂšre, elle trembla et je sus qu'un orgasme puissant avait commencĂ©. Elle aspira les derniĂšres gouttes qui sortaient de mon sexe, se redressa et ouvrit en souriant son papillon . Elle Ă©tait remplie de gouttes de blanc et de sperme coulait des coins, coulant le long de son menton. Elle le roula dans la bouche, savourant son goĂ»t, puis l'avala. "Je t'aime, maman!", Ai-je dit, elle a tirĂ© la tĂȘte vers moi et nous avons commencĂ© un baiser interdit. Puis j'ai glissĂ© sur le lit, poussĂ© ma tĂȘte entre ses jambes et enfoui mon visage dans les poils pubiens de ma mĂšre. Tandis que je sondais les lĂšvres de sa chatte avec ma langue, elle tendit la main et l'Ă©tendit largement et je commençai Ă  lĂ©cher toute cette Ă©tendue de chair rose. Quand j'ai commencĂ© Ă  courir la langue de haut en bas, j'ai continuĂ© jusqu'Ă  ce que je lĂšche son charmant trou de cul. "Oh Billy, maintenant on a dĂ©jĂ  fait ça!" Je pouvais dire qu'elle Ă©tait en train de faire un orgasme et elle a utilisĂ© ses muscles du cul pour le pousser. Sans hĂ©siter, ma langue a pĂ©nĂ©trĂ© Ă  l'intĂ©rieur et j'ai commencĂ© Ă  la faire tourner autour du bord. Alors qu'elle gĂ©missait de joie, j'ai Ă©jaculĂ© sur mon ventre. Finalement, je m'assis et lui souris. "Quand ton trou du cul s'est ouvert, maman, c'Ă©tait tellement Ă©rotique que je voulais y passer ma langue et je suis sorti!" Elle m'a embrassĂ© et nous avons Ă©changĂ© un autre baiser lubrique. Quand nous avons repris notre souffle, maman a dit "J'ai besoin d'une pause, viens dans la cuisine et bois une boisson fraĂźche. J'ai suivi son joli cul rond. Bien sĂ»r, maman s'est fait un puissant rhum Coca-Cola et j'ai Pepsi. "Demain, c'est samedi, on peut baiser toute la nuit, pas vrai?" Elle sourit. "J'aimerais avoir l'Ă©nergie d'un garçon de 14 ans, mais bien sĂ»r, ma chatte en veut encore plus." Dans le vestiaire, j’ai entendu une personne ĂągĂ©e dire "Ma copine la prend dans ses fesses." Est-ce que cela signifie ce que je pense que cela signifie. N'est-ce pas un peu
 Je veux dire, si
 "Elle m'interrompit," Cela signifie exactement ce que vous pensez que cela signifie et toute fille qui va le faire s'assure qu'il n'y a rien. Mais, Billy, ce n’est pas toutes les filles qui le font, c’est un
. eh bien, une sorte de façon perverse de baiser. "" L’as-tu dĂ©jĂ  fait? "Maman a ri." Ton pĂšre m'a appris Ă  le prendre dans mes fesses et c'Ă©tait excitant
 si mĂ©chant
 nous l'avons fait des millions de fois. »Naturellement, j'ai dit Faisons-le quand nous remonterons dans l'escalier. Quand nous Ă©tions sur le lit, maman dit "Es-tu sĂ»re de vouloir me faire foutre dans le cul, c'est une chose trĂšs perverse Ă  faire?" J'ai rĂ©pondu "Oui, maman, oui!" Maman se mit Ă  genoux, baissa la tĂȘte et les Ă©paules sur le matelas et poussa son beau cul rond en l'air. Voir ta propre mĂšre dans cette pose impudique Ă©tait tellement provocant que j'ai eu une Ă©jaculation spontanĂ©e. Maman a pleurĂ© "Oh mon Dieu, Billy, en voyant mon fils de 14 ans gicler de sa queue, il est tellement horney que je viens juste de partir
 oooohhh,

 ooooh!" J'ai attendu jusqu'Ă  ce que ça passe, puis je me suis mis sur mes genoux et j'ai abaissĂ© son corps jusqu'Ă  ce qu'elle soit parfaitement positionnĂ©e. Elle a attrapĂ© mon sexe, l'a dĂ©placĂ© contre son joli trou du cul et elle a criĂ© Ça y est, Billy, mets-le dans mon cul! Pouvez-vous imaginer le frisson d'entendre votre propre mĂšre crier ces mots? Puis elle m'a surpris en poussant avec ses fesses et ça s'est ouvert. Je soulageai la tĂȘte de ma bite Ă  l'intĂ©rieur puis elle se dĂ©tendit et son trou du cul se referma serrant fermement la hampe. Maman gĂ©mit de plaisir en la sentant glisser jusqu'Ă  ce que mes couilles lui tapent le cul. Je l'ai baisĂ©e comme je l'ai fait avec sa chatte, presque complĂštement, puis je l'ai claquĂ©e jusqu'au fond. Je suis allĂ©e lentement pour que Maman et moi puissions profiter de la sensation de ma bite en mouvement. C'Ă©tait dĂ©licieux! Bien que je sois lĂ , je n'ai que 14 ans et baise ma propre mĂšre dans le cul. Et j'ai presque Ă©jaculĂ©. "C'est ça, bĂ©bĂ©, je suis
 je vais avoir des orgasmes sans arrĂȘt

. oooooohh
. oooohh

 l'inceste est tellement merveilleux, c'est le sexe le plus excitant que vous puissiez avoir! Va plus vite, je veux sentir mon fils jouir dans mon cul! "Quand je l'ai fait, la vague de plaisir Ă©tait extrĂȘmement puissante et n'a durĂ© que quelques secondes. Bien sĂ»r, maman avait un orgasme intense. Nul doute que, Ă  14 ans, baiser ta mĂšre dans son cul est le summum du sexe incestuel Naturellement aprĂšs cette nuit nous avons dormi ensemble et baisĂ© pratiquement tous les soirs Nous ne nous sommes jamais arrĂȘtĂ©s, je suis mariĂ© Ă  une belle femme avec un dĂ©sir sexuel insatiable dont je suis follement amoureuse, mais je trouve toujours des occasions de baiser ma mĂšre.. Histoires similaires Je m’appelle CĂ©dric, j’ai 20 ans et je vis seul avec ma mĂšre Julia de 42 ans. Elle est plutĂŽt jolie et j’avoue que je suis un peu surpris qu’elle n’ait pas encore retrouvĂ© un homme dans sa vie. L’autre jour je suis rentrĂ© un peu plus tĂŽt du travail, elle n’avait pas remarquĂ© ma prĂ©sence dans la maison. En effet elle regardait un film dans le salon, avec le volume sonore assez Ă©levĂ©. Assise sur le fauteuil, avec un air dĂ©tendu, tout semblait normal. Seulement un petit dĂ©tail me fit changer d’avis. Elle avait tout simplement la main dans la culotte! Bien sĂ»r en voyant la scĂšne, je suis vite parti sans faire de bruit, pour la laisser finir tranquillement. J’étais choquĂ© bien Ă©videmment, mais ce sont des choses qui arrivent. J’ai attendu patiemment dans ma chambre en essayant de penser Ă  autre chose. Puis le bruit de la tĂ©lĂ©vision cessa et je sortis de ma chambre pour lui dire bonjour comme si de rien maman ça va?-Oh mon dieu tu m’as fais peur! dit-elle en que ça fait longtemps que tu es lĂ ?-Non je viens d’ gros mensonge Ă©tait indispensable pour ne pas qu’elle se rende compte que je l’avais vu pendant qu’elle se caressait. Elle alla ensuite en direction de la salle de bain pour prendre une douche. Pendant ce temps je suis allĂ© regarder la tĂ©lĂ©vision. En arrivant, j’ai remarquĂ© que quelque chose Ă©tait coincĂ© entre les coussins du fauteuil, une sorte de bout de tissu. J’ai tirĂ© dessus, et lĂ  grosse surprise, c’était la petite culotte de ma mĂšre! Elle avait dĂ» l’enlever pour ĂȘtre plus Ă  l’aise. Malheureusement je n’ai pas rĂ©sistĂ© Ă  la tentation de la sentir. Elle Ă©tait trĂšs odorante et j’ai eu aussitĂŽt une Ă©rection dans mon jours plus tard, j’ai de nouveau surpris ma mĂšre entrain de se toucher. Mais cette fois elle m’a remarquĂ©. Visiblement trĂšs gĂȘnĂ©e, elle engagea la conversation-Excuse-moi je ne savais pas que tu Ă©tais dĂ©jĂ  rentrĂ©, je ne le ferais plus. dit-elle ça ne fait rien maman, ne t’inquiĂšte pas. D’ailleurs tu pourras encore le faire si tu en as merci chĂ©ri tu es un amour, ce sera notre petit secret d’accord?-Oui promis. Nous sommes ensuite passĂ©s Ă  table et ma mĂšre avec son petit air coquin me posa plusieurs questions assez j’aimerai savoir si ça t’arrive aussi d’avoir envie? dit-elle-D’avoir envie de quoi?-De faire ce que je faisais devant la Eh bien... je...-Allez ne sois pas timide comme ça, j’aimerai bien qu’on en ça m’arrive de temps en d’accord. Et tu le fais souvent?-Deux Ă  trois fois par quand mĂȘme! Il va falloir que tu rencontres quelqu’ pourrais te dire la mĂȘme chose mais moi c’est plus compliquĂ© Ă  mon Ăąge tu sais. -Pourquoi?-La plupart des hommes veulent seulement coucher avec moi, et ne veulent point s’ prĂ©fĂšres te faire plaisir toute seule avec les ça va hein, tu le fais plus souvent que moi. D’ailleurs j’aimerai savoir Ă  quoi tu penses quand tu le fais?-En fait je vais rĂ©guliĂšrement sur d’accord, tu regardes des femmes nues pour t’exciter?-Oui c’est ça. -Hum petit coquin. AprĂšs un repas copieux, l’heure Ă©tait d’aller se coucher. Lorsque je commençais Ă  m’endormir, ma mĂšre dĂ©barqua dans ma chambre sans frapper. J’ai sursautĂ© de peur. -Oups! dĂ©solĂ©e si je t’ai fait peur. Tu dormais dĂ©jĂ ?-Oui je me lĂšve trĂšs tĂŽt ça ne te gĂȘne pas si je reste un peu avec toi, je m’ennuie un peu toute seule dans ma chambre, il n’y a rien Ă  la tu peux rester mais pas trop s’assit sur mon lit avec son tĂ©lĂ©phone Ă  la main, vĂȘtue d’une robe de nuit. Soudain elle glissa sa main dans sa culotte tout en regardant son que tu fais maman?-Je lis des histoires Ă©rotiques sur trĂšs excitĂ© en voyant ma mĂšre se donner du plaisir devant moi. C’est comme s’il n’y avait plus aucune barriĂšre entre elle et moi. J’avais envie de voir sa minette bien cachĂ©e derriĂšre sa petite culotte en coton. -Maman est-ce que ça t’embĂȘte si je fais comme toi?-Non non ça ne m’embĂȘte pas tu donc caressĂ© mon intimitĂ© sous les couvertures tout en regardant ma mĂšre se doigter. J’ai rapidement craquĂ©...-Excuse-moi maman...-Oui bien je crois que... Enfin tu vois ce que je veux ça y est c’est sorti?-Oui c’est Tu veux que je t’apporte de quoi t’essuyer?-Oui ça serait bien bouge pas, reste dans cette position, je mĂšre se leva et alla chercher une boĂźte de mouchoirs. J’ai pu m’essuyer avec plusieurs mouchoirs sans en mettre partout dans mes draps. Ma mĂšre me tendit sa je vais les jeter Ă  la sentit les mouchoirs que ça sent mauvais? -Non chĂ©ri, au contraire j’adore cette les sentit encore et encore avant d’aller finalement les jeter Ă  la poubelle. AprĂšs ce moment Ă©rotique avec ma mĂšre, nous nous sommes couchĂ©s pour une bonne nuit de sommeil. Le lendemain matin, c’était un peu particulier entre elle et moi. Nous avions eu tous les deux le sentiment d’ĂȘtre allĂ© beaucoup trop loin. Police Mis Ă  jour le 30 mars 2022 Ă  17h54 C'est mon histoire quand AngĂ©lique vole au secours de sa mĂšre, plaquĂ©e par son pĂšre, elle rĂ©alise qu'il n'est plus temps de vivre Ă  moitiĂ©... Par La RĂ©daction 22 h 30, un soir, il y a quelques mois, ma mĂšre au tĂ©lĂ©phone, en larmes. Entre deux sanglots, je comprends Ton pĂšre !!! », elle pleure tellement que je crois qu'il est mort. Je crie Non, ce n'est pas possible ! », elle rĂ©pond Siiiii ! » Il me faut un bon moment avant de comprendre qu'il n'est pas mort, seulement parti. Avec une autre. À 76 ans, il vient bel et bien de plaquer Maman, pour retrouver Annie, son amour de jeunesse. Un amour contrariĂ© qui l'avait jadis poussĂ© Ă  Ă©pouser ma mĂšre par dĂ©pit. Une femme bien », avait-il rĂ©pĂ©tĂ© toute sa vie. J'aurais dĂ» me douter qu'en matiĂšre de compliment amoureux il existait mieux. Mes parents, dont j'Ă©tais la fille unique, s'entendaient correctement. Ma mĂšre voguait sur les flots d'une existence sans houle. Elle savait que cette Annie avait Ă©tĂ© douce au cƓur de mon pĂšre, mais elle ignorait la vĂ©ritĂ© de cette passion, car il Ă©tait pudique et discret. Jusqu'au jour oĂč, aprĂšs avoir quittĂ© l'appartement familial, il m'a tout racontĂ©. À 20 ans, Annie et moi, on s'aimait comme des fous. Mais ta grand-mĂšre ne supportait pas l'idĂ©e de me voir Ă©pouser une fille de 'culs-terreux', comme elle disait, et elle a tout fait pour nous sĂ©parer. Tu sais, Ă  l'Ă©poque, c'Ă©tait dur d'aller contre les dĂ©cisions de ses parents, alors je me suis rĂ©signĂ©, j'ai Ă©pousĂ© ta mĂšre, et je la respectais trop pour rester en contact avec Annie. Jusqu'Ă  ce que celle-ci m'Ă©crive, il y a six mois, pour me dire qu'elle avait Ă©tĂ© gravement malade, et qu'elle aurait aimĂ© me revoir. » Ça lui avait fait exploser cinquante-cinq ans de frustration Ă  la figure, et il avait foncĂ©. En me demandant pardon au passage... Une mĂšre mĂ©connueMaman, elle, Ă©tait brisĂ©e. PlaquĂ©e Ă  74 ans pour une autre, c'Ă©tait violent. Pour ne pas la dĂ©possĂ©der, Papa n'a rien voulu emporter de sa vie avec elle. Elle l'a pris comme un outrage supplĂ©mentaire. Son calvaire Ă©tait total. Elle m'a fendu le cƓur. Je l'ai hĂ©bergĂ©e, et mes enfants et moi avons tout fait pour la divertir. Nous allions chez elle pour relever le courrier, mais elle arrivait Ă  peine Ă  passer la porte de l'immeuble, tant la douleur Ă©tait vive. Le nom sur sa boĂźte Ă  lettres, la touche 3 dans l'ascenseur, le parapluie de Papa dans l'entrĂ©e, et aussitĂŽt la valse des sanglots reprenait. Pendant des mois, je l'ai emmenĂ©e partout avec moi, au marchĂ©, chez des amis, en vacances. J'avais trop peur de la laisser seule. Chaque rue, chaque dĂ©tail de la vie quotidienne lui rappelaient Papa, et elle continuait de pleurer des torrents. C'Ă©tait lourd, pĂ©nible. Mais petit Ă  petit, Ă  travers sa douleur, j'ai dĂ©couvert une femme amoureuse, sanguine, sentimentale. Une femme dont j'ignorais tout, finalement. Elle avait toujours Ă©tĂ© gentille avec moi, patiente, mais un peu glaçon quand mĂȘme. Une mĂšre bien », une mĂšre de devoir, en quelque sorte, qui me rappelait quelqu'un... fil des mois, Maman s'est confiĂ©e de plus en plus. Elle m'a avouĂ© combien, au dĂ©but de son mariage, elle avait craint cette Annie dont le nom, prononcĂ© tout bas dans la famille, n'avait pas fini d'Ă©mouvoir son mari. Elle a voulu me montrer des photos de mon pĂšre et d'Annie ensemble, se baignant dans un lac, cinquante-cinq ans plus tĂŽt. Ces photos m'ont toujours hantĂ©e, m'avait-elle avouĂ©. Parce qu'elles racontent un amour fou, Ă©clatant, indestructible. Ton pĂšre ne m'a jamais regardĂ©e avec ces yeux-lĂ . J'ai pensĂ© Ă  ces clichĂ©s Ă  chaque fois qu'on nous prenait en photo, lui et moi. » Plus ma mĂšre Ă©voquait le passĂ©, plus je la trouvais intĂ©ressante. Parfois, elle partait en vrille et ça me touchait. Un jour, je l'ai surprise tout habillĂ©e, sous la douche. Au lieu de la houspiller, je l'ai aidĂ©e Ă  se sĂ©cher. Je me sentais glacĂ©e Ă  l'intĂ©rieur, je me suis jetĂ©e sous l'eau chaude pour me sauver la vie, tu comprends ? » Oui, je comprenais. C'Ă©tait sa façon de ressentir les choses et de me dire qu'elle aurait voulu, rien qu'une fois, ĂȘtre aimĂ©e aussi fort qu'Annie."La remarque de ma mĂšre a ouvert une porte en moi [...] la main noire qui retenait mes Ă©lans s'est desserrĂ©e. " Je n'ai jamais fait le deuil de cela. Je m'Ă©tais repliĂ©e sur moi-mĂȘme, pour me protĂ©ger de mes sentiments, croyant en l'engagement de ton pĂšre. » Jamais elle n'avait laissĂ© parler son dĂ©sarroi ou sa colĂšre, supportant Ă©ternellement le spectre de cette femme. MĂȘme quand on faisait l'amour, Annie Ă©tait lĂ , entre nous », m'a-t-elle confiĂ© un jour. Je ne l'ai pas rabrouĂ©e, mĂȘme si la sexualitĂ© de mes parents n'est pas mon sujet de conversation prĂ©fĂ©rĂ©. Au contraire, je l'ai laissĂ©e poursuivre. Tu vois, c'est horrible de vivre ça Ă  mon Ăąge, mais au moins, pour la premiĂšre fois, je suis dans la vĂ©ritĂ©, et c'est mieux ainsi. Alors, mĂȘme si je ne suis pas trĂšs bien placĂ©e pour te donner des conseils, ma chĂ©rie, je te demande une chose quoi qu'il t'arrive, ouvre les yeux, et ouvre ton cƓur. Ne garde rien en toi qui puisse te rendre malheureuse. » Pourquoi me disait-elle cela ? J'ai tout Ă  coup eu l'impression qu'elle me tendait un miroir. N'Ă©tais-je pas, moi aussi, avec mon mari, une femme bien » ? Une femme qui enfouit ses sentiments de peur qu'on ne les lui dĂ©robe, une femme qui prĂ©fĂšre la tiĂ©deur par crainte d'ĂȘtre dĂ©vorĂ©e par le feu... La remarque de ma mĂšre a ouvert une porte en moi. Celle de la passion. Peu Ă  peu, j'ai osĂ© l'amour sans rĂ©serve. Pour moi, ce n'Ă©tait pas simple de tout donner. J'avais pris l'habitude de dire des demi-compliments, d'offrir des quarts de sourire, des tiers de caresse. Je me prĂ©servais par instinct, tout en craignant que mon manque de flamme justement ne fasse un jour fuir mon mari. C'est marrant, tu ris en entier », m'a dit ma fille, un soir. Mon mari, peu de temps aprĂšs, alors que nous venions de faire l'amour, a lĂąchĂ© Waouh, qu'est-ce qui t'arrive, tu Ă©tais vraiment lĂ  ! » Je me suis alors aperçue que la main noire qui retenait mes Ă©lans s'Ă©tait desserrĂ©e. Je ne m'interdisais plus rien, pas mĂȘme de jouir en dehors du lit conjugal, que je retrouvais avec d'autant plus d'enthousiasme aprĂšs mes rares mais salvatrices incartades. À 44 ans, j'Ă©tais enfin libre, et c'est Ă  ma mĂšre, Ă©pouse d'un autre temps, que je le devais ! Le couvercle vissĂ© sur ma tĂȘte, qui me forçait Ă  bouillir intĂ©rieurement, s'Ă©tait envolĂ©, et ma vie reprenait des couleurs. Je me suis remise au chant, que j'avais laissĂ© tomber pour consacrer plus de temps aux enfants, qui ne me voyaient pas beaucoup avec mon job de juriste. En fait, j'ai renouĂ© avec moi-mĂȘme, et avec les nouvel Ă©lanPeu Ă  peu, j'ai cessĂ© de reprocher Ă  mon pĂšre d'avoir fait tant de mal Ă  Maman. On parle beaucoup, tous les deux, et sa nouvelle lĂ©gĂšretĂ© me paraĂźt superbe. Enfin, il vit. Ma mĂšre va de mieux en mieux. Elle a rappelĂ© des copines de jeunesse, elle s'est inscrite Ă  un club de gym, a pris un abonnement au théùtre, toutes ces choses qu'elle s'Ă©tait interdites pour ne pas embĂȘter » mon pĂšre. Elle est retournĂ©e vivre chez elle et se construit un quotidien qui lui ressemble. Au dĂ©but, je passais la voir tous les jours, par devoir, et aujourd'hui je continue par plaisir. DĂšs que j'ai un dĂ©jeuner de libre, je l'appelle, et nous discutons sans fin et sans faux-semblant. Je lui ai racontĂ© que sa douleur m'avait montrĂ© un nouveau chemin. Cet aveu lui a donnĂ© un sourire que je ne lui connaissais pas, immense et complet. Elle continue Ă  libĂ©rer l'ĂȘtre si longtemps ligotĂ© en elle, et moi aussi. Je m'abandonne davantage dans les bras de mon mari. Avec les enfants, je suis plus cool, plus naturelle. La famille s'est comme assouplie, Ă©tirĂ©e, dĂ©tendue. Tout ça parce que j'ai rĂ©alisĂ© qu'une partie de moi n'avait pas la parole... Et si ma mĂšre doit faire le deuil d'une vie passĂ©e sous silence, sa nouvelle libertĂ© la soulage. Je trouve qu'elle rajeunit, la preuve, hier elle m'a dit AprĂšs tout, j'ai encore vingt ans pour me retrouver un mec ! »Vous avez envie de raconter votre histoire ? Nos journalistes peuvent recueillir votre tĂ©moignage. Écrivez-nous Ă  cmh

je fais l amour avec ma mĂšre